#Top5JeSuisSéropo

Cet article a été mis à jour le 12 janvier 2021.

Pour la Journée Zéro Discrimination 2019, la COCQ-SIDA a recensé un palmarès des 5 billets les plus percutants parus sur le blogue Je suis séropo qui traitent des questions de discrimination et de stigmatisation.

Nous espérons que vous partagerez notre joie en redécouvrant ce #Top5JeSuisSéropo… et notre consternation en vous rendant compte que ces articles sont encore 100% d’actualité.

5e position : Discrimination anticipée

Un texte de Ken Monteith, qui aborde la façon dont certaines personnes séropositives doivent faire des ajustements subtils pour éviter le jugement des inconnu·es. Ce billet démontre que les personnes vivant avec le VIH, même lorsqu’elles jouissent de privilèges à d’autres niveaux, ne sont pas à l’abri de la sérophobie ordinaire.

4e position : VIH : quand les mots nourrissent la stigmatisation

Un article qui porte sur le vocabulaire qu’on utilise pour parler des personnes vivant avec le VIH, et de son impact sur la stigmatisation. Cette réflexion sur le poids des mots est offerte par notre coordonnateur des communications, René Légaré.

3e position : Défi Je suis séropo, le témoignage de X

Dans un billet maintenant retiré de notre site, une étudiante en travail social a livré l’éventail des réactions – du soutien au malaise à l’ignorance – qu’elle a suscitées en publiant sur les médias sociaux une photo d’elle-même vêtue d’un t-shirt « Je suis séropo ».

2e position : Le défi d’Édith, épisode 7

Voici le compte rendu d’une autre personne ayant accepté de relever le défi « Je suis séropo« , la sexologue Édith Gauthier. Dans ce billet, elle raconte son expérience d’avoir porté un t-shirt « Je suis séropo » dans différents endroits publics: au gym, dans un café, à l’université… Son constat? « La vérité est laide! Le VIH fait encore peur et c’est vraiment triste. » 

1re position : Merci Google !

Billet dans lequel Laurette aborde le poids de la stigmatisation dans le contexte des relations amoureuses. Un témoignage à la fois drôle et poignant qui montre combien la question du dévoilement du statut sérologique est délicate.